Le Figaro d’hier, dans un article de Cyrille Lachevre, revient sur la thèse que Thierry Breton avait exposée aux anciens HEC la semaine dernière et dont j’ai parlé ICI.
Le titre : "De la difficulté pour un Etat d’être une "partie prenante"
L’auteur semble trés dubitative sur cette histoire de "capitalisme des parties prenantes", et cite notamment Pierre-Yves Gomez, directeur de l’Institut français du gouvernement des entreprises, qui considère que cette idée, sortie des réflexions d’économistes des années 90, tel Edward Freeman, s’est révélée trés difficile à mettre en oeuvre, notamment quand il s’agit de hiérarchiser les droits des différentes parties prenantes les unes par rapport aux autres.
Pour Pierre-Yves Gomez :
"In fine, on en revient toujours au même point : le meilleur moyen de peser sur les décisions consiste à être actionnaire".
Pour se faire soi-même son opinion, l’article indique une sélection d’ouvrages :
– "Strategic Management : A stakeholder Approach, R.E Freeman Pitman, Boston, 1984
– "La République des actionnaires" Pierre-Yves Gomez, Alternatives économiques, 2002
– "La théorie des parties prenantes : théorie normative ou théorie empirique ? ", Salma Damak-Ayadi, 2003.
A lire pour comprendre Thierry Breton…..

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